Sous le canon du temps (1)
A Marouchka qui fut pour moi la plus belle flammèche de cet incendie là.
Les "commémorations" médiatiques de mai 1968 ont fourni à tous ceux qui n’avaient pas réussi à éviter cette insurrection la possibilité d’en réécrire l’histoire. Ce fantôme qui hante les galeries du spectacle depuis vingt ans et ne cesse d’y faire trembler les politiciens, ne pouvait être présenté au public, et en particulier aux jeunes générations, sans que ses aspects inquiétants aient été d’abord (...)
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